Chroniques d'avril 2005

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Modérateur : Lopez Noël

Marc Poteaux
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Chroniques d'avril 2005

Message par Marc Poteaux »

2.53 BEH Death black
BEHEMOTH : Demigod
Amis poètes, si vous aviez été conquis par le précédent méfait de nos polonais préférés, « Zos Kia Cultus », sachez que sur ce « Demigod », Nergal et les siens placent la barre encore plus haut, et nous offrent un album en tous points exemplaire. Un death avec une touche black fluide et sans temps mort, sachant varier les atmosphères et les tempos, et permettre l’incursion d’instruments acoustiques, d’une puissance et d’une virtuosité rarement égalées. Ce disque d’une extrême violence repousse les limites de la brutalité et de l’orfèvrerie death, et les place sur le trône du genre, laissant ses concurrents loin derrière. Oubliez Morbid Angel, le règne de Behemoth vient de débuter, et bien malin celui qui saura en présager la fin. Plus malin encore celui qui la causera…Mais les polonais sont teigneux, et il y a fort à parier qu’ils défendront leur nouveau territoire jusqu’au sang, et utiliseront tous les moyens naturels ou surnaturels à leur disposition pour repousser l’envahisseur ! (Marc Poteaux)
Regain (dis. Century Media) RR048
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2.53 BEO Thrash punk
BEOWULF : The Re-Releases « Beowulf » & « Lost My Head »
Nostalgiques de la grande époque ou une poignée de skateurs fans de thrash originaires de Venice, Californie faisaient sensation avec un certain « Join The Army » ? Réjouissez-vous, I Scream va vous gâter avec cette réédition des deux seules productions de leurs voisins de Beowulf, agrémentée d’un inédit sous la forme d’une nouvelle composition. Et ma foi, s’il est indéniable que le style a bien vieilli, ça fonctionne pourtant assez bien ! Bon, d’accord, n’est pas Suicidal qui veut, mais on se rend compte avec du retard que les quatre p’tits gars ont une certaine forme de talent. Beowulf n’est pas une perle rare, mais possède des atouts indéniables dans son jeu. Et un charme désuet qui joue en sa faveur ! (Marc Poteaux)
I Scream (dis. Overcome) ISR 88.886.02
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2.64 BLA Punk hardcore
BLACK FRIDAY '29 : The Escape
Cette formation allemande présente avec ce « The Escape » un premier « vrai » album dans un genre punk virulent et sans pitié. Se réclamant du mouvement straight edge, ces cinq jeunes gens ont des arguments musicaux intéressants à faire valoir pour la domination de la scène teutonne. Car Black Friday '29 sait varier les tempos et agencer ses morceaux de façon à ne pas lasser l'auditeur lambda et ne pas rebuter le puriste. Sur certains passages, seule la voix indique clairement qu'il s'agit de hardcore. Une voix qu'on aimerait parfois d'ailleurs un peu plus nuancée, plus expressive. Mais bon, soyons justes, ce disque est assez bon pour se frayer un chemin parmi la masse et atterrir dans la discothèque des fans de hardcore old school...n'ayant pas peur de la nouveauté ! (Marc Poteaux)
GSR / Noizz Music (dis. Overcome) GSR034
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2.53 DIS Thrashcore goth
DISBELIEF : 66 Sick
Je vous l’avoue, depuis que j’ai jeté une oreille d’abord distraite puis fascinée sur « Shine », chaque sortie d’un album des allemands de Disbelief est accueillie la bave aux lèvres par bibi. Et si j’ai été quelque peu déçu par le précédent opus, ce « 66 Sick » va faire pencher la balance de l’autre côté. Car c’est clairement dans le thrashcore désespéré et violent de « Shine » qu’il faut chercher sa filiation. Et encore une fois, ces riffs d’une puissance terrassante, ce son frôlant parfois le stoner, ce chant déchiré et ces mélodies à la limite du goth metal font mouche. Que vous dire de plus ? Qu’avec un peu de chance, vous tomberez sur la version collector comportant quatre titres bonus dont une étonnante reprise d’Iron Maiden ? Disbelief est pour moi un groupe culte, à vous de voir si vous voulez entrer dans le cercle…(Marc Poteaux)
Nuclear Blast (dis. Nuclear Blast) 27361 13792
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2.63 FAR Punk Rock
FAR FROM FINISHED : East Side Of Nowhere
Far From Finished est un quintette ricain formé de trois jeunes loups et vieux briscards. Et ça s’entend ! Ce premier album a vraiment un son particulier, quelque part entre Social Distortion et la vague pop punk que nos chères têtes blondes chérissent tant. Bon, côté compos, rien de nouveau sous le soleil, mais chaque titre à un peu l’allure d’un tube rock n’punk. Ajoutez à ça un grain de voix fort agréable et une durée totale qui ne permet pas de se fatiguer du genre, et vous aurez entre les mains une récréation de bonne facture. Maintenant c’est à vous de faire la différence. (Marc Poteaux)
I Scream (dis. Overcome) 88.878.02
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2.53 GUT Metal extrême
GUTWORM : Ruin the Memory
Qui a dit que le Royaume-Uni n’avait plus rien à proposer en matière de metal, et en particulier dans le domaine de l’extrême ? Certainement pas Anticulture, label anglais qui nous envoie ce premier album de Gutworm dans les gencives. Entre le hardcore, le death technique et le thrash, nos cinq gaillards n’ont pas envie de choisir, et utilisent toutes les armes mises à leur disposition pour nous mettre sur les genoux. Ce premier album est un régal, une cure de jouvence, un pied intégral comme on aimerait en prendre plus souvent ! On espère ne pas devoir attendre aussi longtemps pour découvrir un nouveau brûlot de ce futur cador (Marc Poteaux)
Anticulture (dis. Overcome) ACCD01
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2.53 HAP Grindcore
HAPPY FACE : Le Tigre
A priori, le grind n’est pas vraiment ma tasse de whisky. Alors aux premières mesures de l’introductif « La prophétie des fouines » je n’étais franchement pas emballé par la perspective de me coltiner le reste de ce premier brûlot des français. Et pourtant, Happy Face apporte vite quelques bons plans, nouvelles structures et breaks savants à un matériau de base qui devient trop souvent rébarbatif à force de tourner en rond depuis des années. Et si le groupe ne me fera pas virer ma cuti, je dois avouer que la petite demie heure de « Le Tigre » n’aura pas été une souffrance, et que le grind à base de cassures et de technique impressionnante de quatuor recèle à mes yeux de très bonnes idées. Affaire à suivre. (Marc Poteaux)
Anticulture (dis. Overcome) ACCD 03
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2.53 INB Stoner metal
INBREDS (The) : Groove Drenched Warfare
L’Angleterre a toujours été une terre fertile pour le heavy metal, et c’est donc fort naturellement que l’on voit émerger une formation comme The Inbreds, pratiquant un stoner très musclé assez loin de papa Cathedral, que l’on pourrait plus rapprocher de Mastodon (avec qui ils ont d’ailleurs tourné, comme le monde est petit !), le côté électrique et la touche de génie en moins. Ce n’est pas que le groupe soit mauvais, mais on aurait aimé trouver des grooves plus appuyés, et un peu plus de personnalité. Par contre, mention spéciale à l’artwork, vraiment très sympa ! (Marc Poteaux)
Anticulture (dis. Overcome) ACCD02
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2.53 KRU Thrashcore
KRUGER : Cattle Truck
Ah, Kruger, combien d'obstacles avons-nous dû éviter pour nous retrouver ensemble aujourd'hui ? Combien de fois les sirènes du destin ont-elles essayé de nous détourner l'un de l'autre, mon Roméo suisse ? De quelle façon des muses diaboliques et de jeunes gredins ont-ils dérobé à mes douces esgourdes les douces mélodies de tes mandolines électriques, tes sérénades touchantes ? Que n'ai-je tant souffert pour te découvrir enfin et tomber en pâmoison ! Et là, je vous vois venir, les plus ouverts d'entre-vous se diront : « mais où diable veut-il en venir avec sa prose capillotractée et feuxdelamouresque ? », tandis que les plus évasifs se contenteront d'un « hein ? » mystérieux et profond. Bien, alors je vais être plus clair ; ce brûlot, j'ai bien failli ne jamais l'écouter sans l'aide précieuse d'une jeune femme que je remercie vivement. Car « Cattle Truck » est un excellent album de thrashcore, mêlant émotion, brutalité, mélodie, originalité et puissance. Rien que ça ? Eh oui. Kruger pratique un thrashcore se baladant entre un Neurosis période « Times Of Grace » et un Disbelief des bons jours, le tout saupoudré d'un soupçon de Mastodon. Ceux qui connaissent les trois groupes suscités se sont cetrainement déjà arrêtés de me lire et sont partis acheter l'album. Et je vais à présent libérer les autres pour qu'ils en fassent de même. « Cattle Truck » est excellent et mérite qu'on s'y penche sans tarder. On peut juste regretter le manque de caractère de la dispensable reprise de Depeche Mode en fin de parcours, mais le reste tue ! (Marc Poteaux)
Ronald Reagan (dis.Overcome) RR671-2
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2.23 MAD Pop indie
MADEE : Orion’s Belt
Les groupes de pop indie à trois guitares ne sont pas légion, et j’étais curieux de découvrir quels chorus fantastiques, quels effets de manche impressionnants les espagnols allaient intégrer à leur musique. Et je dois avouer avoir été un peu déçu dans un premier temps par ce « Orion’s Belt », troisième album de la formation. Pourtant, à la réécoute du disque sous d’autres auspices, je découvre une nouvelle facette du groupe ; intimiste, fine, poétique presque, à des lieues de ce que le qualificatif « groupe à trois grattes » laissait présager. Certes, des passages purement rock prennent parfois le dessus, mais l’essentiel est dans ces moments privilégiés que Madee s’aménage avec son public. Pour ma part, je n’ai été que partiellement touché par la grâce du sextet, le trouvant parfois trop mollasson, parfois trop doux. Mais je lui reconnais un certain talent dans son domaine. Bonne chance quand même ! (Marc Poteaux)
Bcore (dis. Overcome) BC.118
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2.53 NO Hardcore metal
NO COMPROMISE : 6 Billions Failures (Work In Progress)
Bon, même sans lire la chronique, vous l’aurez compris, No Compromise est une formation de hardcore, pratiquant un genre ne se réclamant d’aucune écolé puisque empruntant des éléments à toutes. On peut cependant noter l’influence de Biohazard bien décelable (à l’écoute de la voix et des backing, c’est flagrant), celle des grands frères d’Inside Conflict pour le côté deathcore, et peut-être des formations plus anciennes comme D.R.I. pour le côté thrash. Tout ça est même un peu trop ostentatoire, et on a parfois la désagréable impression d’avoir un catalogue dans les mains, d’autant plus que No Compromise privilégie la puissance, l’impact, l’efficacité et l’attitude plutôt que la personnalité. Et pourtant, l’ensemble est homogène et bien agencé, et l’auditeur n’a de répit que le temps de « A Fix Before The Cut », courte pièce noisy avant le sprint final. Mais rien à faire, quelque chose manque. Du potentiel, mais un groupe qui doit s’affranchir des automatismes pour s’épanouir…(Marc Poteaux)
Disagree (dis. Overcome) DIS018
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2.53 PAI Metal indus
PAIN : Dancing With The Dead
Le touche-à-tout Peter Tagtgren continue de nous gâter avec ce quatrième album de son one-man band Pain, ayant fait sien un metal indus catchy et mid-tempo, peuplé de refrains imparables et produit façon blockbuster. Pain, du metal indus pour la ménagère de moins de 50 ans ? Si on ne connaissait pas le monsieur, on pourrait le penser. Mais cela n’étant pas le cas, on ne pourra que supposer que le boss du Abyss studio voulait simplement jouer à armes égales avec les superproductions américaines proposant de la musique au kilomètre. Alors certes, on peut en conséquence reprocher une certaine uniformité à la chose, un manque d’originalité et un côté surproduit non feint, mais on ne peut en tout cas reprocher à ce « Dancing With The Dead » son manque d’efficacité ! Sieur Peter a l’art de dénicher le riff ou le gimmick (souvent même les deux) qui fait mouche, et reste dans la tête jusqu’au coucher. Essayez un peu de ne pas chantonner la mélodie du refrain de « Same Old Song » dès la première écoute ! Pour ce qui est de la pérennité, ce sera peut-être autre chose, mais ce quatrième opus est en tout cas un instantané bougrement efficace, et certainement pas loin de la perfection dans le genre ! (Marc Poteaux)
Stockholm (dis.Universal) 986 912-6
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2.53 PAT Hardcore metal
PATH OF NO RETURN : Black Nights Coming
Path Of No Return, quartette suédois, ne pratique ni le death, ni le black, ni le heavy prog’. C’était la première information remarquable du jour. Le truc de ces mousquetaires du son, c’est tout simplement le crossover metal hardcore. Un genre surpeuplé mais qui ne cesse d’attirer de nouveaux adeptes. La formation a l’intelligence de ne pas jouer la surenchère au niveau attitude ou brutalité, mais propose un hybride utilisant volontiers des riffs catchy sans être galvaudés pour autant, des parties techniques sans taper dans le post hardcore pur, et des coups de bourre tout en gardant un groove rock sale purement swedish. Peut-être pas un chef d’œuvre ultime, mais un très bon disque dans le genre. (Marc Poteaux)
GSR / Noizz Music (dis. Overcome) GSR039
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2.64 PRO Hardcore straight edge
THE PROMISE : Believer
Formé d’habitués de la scène hardcore New Yorkaise, The Promise a bien l’intention de redorer le blason su straight-edge hardcore, et de donner à toute la génération crossover une vraie leçon. Et c’est sûr, ces cinq potes ont la rage au ventre, de celle qui s’accumule au cours des années et ne vous laisse que peu de répit, vous plaçant maintenant et pour toujours dans la catégorie « écorché vif ». The Promise, c’est la garantie d’un hardcore pur jus, sans élément rajouté ni angle arrondi. « Believer » bastonne non-stop, tout en sachant aménager des moments un peu moins uptempo (le superbe « The Unwanted » par exemple, avec sa batterie simple et impériale), et en assénant des riffs classiques mais d’une puissance et d’une efficacité phénoménales. Adopté. Et non, je ne virerais pas straight edge pour autant ! (Marc Poteaux)
GSR / Noizz Music (dis. Overcome) GSR035
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2.53 REN Hardcore metal
RENTOKILLER : Cadaveri Eccelente
Quand les danois se mettent au hardcore metal avec une voix de dément et une pincée d’émo, voir de post hardcore en son sein, les murs tremblent ! Rentokiller, groupe formé en 2000, surfe sur la vague du crossover à influences multiples, comme beaucoup de ses camarades européens. Le disque est bien produit, les morceaux sont accrocheurs, la voix lorgne allègrement vers le deathcore, que demande le peuple ? Bon, j’ai quand même cherché les influences be-bop de Charlie Parker sans les trouver, mais ne chipotons pas, ce « Cadaveri Eccelente » est une très bonne carte de visite pour Rentokiller, à qui l’on souhaite une longue et bonne route ! (Marc Poteaux)
North Post (dis. Overcome) NP#004
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Verrouillé