2.53 GOD Thrash death
GOD DETHRONED : The Lair Of The White Worm
Ah, les revoilà les brutes Hollandaises ! Deux ans pile poil après leur « Into The Lungs Of Hell », ils remettent le couvert pour une nouvelle tuerie thrash death. Ce nouvel album reprend les choses où on les avait laissées en 2003, à peu de choses près, de sorte que ceux qui avaient alors plébiscité le groupe n’auront rien à objecter à cette nouvelle offrande. Et que les autres, qui découvriront la formation avec celle-ci en resteront bouche bée. Car il faut bien l’avouer, ce sixième album est exemplaire en tous points, et les éventuels déçus y mettront forcément de la mauvaise volonté. Riffs carrés, mélodiques et fichtrement efficaces, rythmique sans faille, chant hargneux classique mais cadrant parfaitement, batterie métronomique, album homogène et pas assez long pour lasser, tous les éléments sont réunis pour faire de ce « The Lair Of The White Worm » un succès. A vous de jouer maintenant ! (Marc Poteaux)
Metal Blade (dis. M10) 14514-CD
Chroniques de juin 2005
Modérateur : Lopez Noël
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2.53 SEN Metal gothique
SENTENCED : The Funeral Album
Le groupe Finlandais nous présente ici son ultime album, mettant fin à une carrière débutée il y a 16 ans. L’univers du groupe, même si toujours assez sombre, a évolué du death metal pur jus vers un heavy gothique beaucoup plus accessible. Pour sa révérence, la formation nous offre une œuvre réfléchie et profonde, toute en subtilité et en mélancolie. Pourtant, je dois avouer que tout en lui reconnaissant des qualités certaines, ce chant du cygne éveille en moi la même chose que ses prédécesseurs ; un ennui poli. J’ai eu beau essayer, écouter, réécouter, analyser, peser le pour et le contre, rien à faire, pour moi la musique du groupe manque du petit plus magique qui fait la différence entre les seconds couteaux et les cadors de la scène. Reste un album sincère et sensible de la part d’un groupe méritant. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. Nocturne) CM775462
SENTENCED : The Funeral Album
Le groupe Finlandais nous présente ici son ultime album, mettant fin à une carrière débutée il y a 16 ans. L’univers du groupe, même si toujours assez sombre, a évolué du death metal pur jus vers un heavy gothique beaucoup plus accessible. Pour sa révérence, la formation nous offre une œuvre réfléchie et profonde, toute en subtilité et en mélancolie. Pourtant, je dois avouer que tout en lui reconnaissant des qualités certaines, ce chant du cygne éveille en moi la même chose que ses prédécesseurs ; un ennui poli. J’ai eu beau essayer, écouter, réécouter, analyser, peser le pour et le contre, rien à faire, pour moi la musique du groupe manque du petit plus magique qui fait la différence entre les seconds couteaux et les cadors de la scène. Reste un album sincère et sensible de la part d’un groupe méritant. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. Nocturne) CM775462
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2.65 BOR Noise post hardcore
BORIS : Boris At Last – Feedbacker
Trio Japonais, Boris pratique une musique étrange, balançant entre post hardcore (on pense parfois aux derniers Neurosis), ambiant (un peu) et noise rock (la plupart du temps). Pourtant, le premier titre de ce nouvel et cinquième album débute de façon carrément doomesque. Mais très vite, les drones, larsens, distortions et consorts reprennent le contrôle de la situation. Au travers de ces cinq titres ne laissant que de courts moments de répits à l’auditeur, un canevas mélancolique se dessine, donnant une impression de profondeur quasi-impalpable mais bien présent, qui joue en la faveur d’un album qui échappe par le fait à la case « pénible prise de tête ». Une œuvre intéressante par bien des aspects, assez difficile d’écoute tout de même ! (Marc Poteaux)
Conspiracy (dis. Overcome) Core024
BORIS : Boris At Last – Feedbacker
Trio Japonais, Boris pratique une musique étrange, balançant entre post hardcore (on pense parfois aux derniers Neurosis), ambiant (un peu) et noise rock (la plupart du temps). Pourtant, le premier titre de ce nouvel et cinquième album débute de façon carrément doomesque. Mais très vite, les drones, larsens, distortions et consorts reprennent le contrôle de la situation. Au travers de ces cinq titres ne laissant que de courts moments de répits à l’auditeur, un canevas mélancolique se dessine, donnant une impression de profondeur quasi-impalpable mais bien présent, qui joue en la faveur d’un album qui échappe par le fait à la case « pénible prise de tête ». Une œuvre intéressante par bien des aspects, assez difficile d’écoute tout de même ! (Marc Poteaux)
Conspiracy (dis. Overcome) Core024
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